image © Nicolas Masson
Florian Favre - piano, composition / Arthur Alard - batterie / Manu Hagmann - contrebasse
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Le pianiste fribourgeois Florian Favre est reconnu comme un musicien hors pair de sa génération. Ses compositions sont d’une classe à part, impressionnantes par leur originalité et leur humour, leurs harmonies multicolores et leurs subtilités rythmiques. Son jeu transparent, concis et léger offre un jazz ouvert, sensible et éruptif. L'interaction brillante avec Manu Hagmann à la basse et Arthur Alard à la batterie permet de créer un jazz interprété avec audace, marqué par une grande sensibilité rythmique et des tournures surprenantes; profond et touchant. Une musique exigeante, mais qui n'est pas réservée aux spécialistes.
« La dynamique et la dramaturgie de ce trio est à couper le souffle. Passages rythmiques, explosifs, calmes et lyriques et improvisations enflammées, rarement la musique est aussi rafraichissante et captivante » Jörg Konrad, Kultkomplott.de « Il incarne de manière dégingandée l'incroyable vitalité de la scène romande » — « Son nouveau disque en trio, Ur, ne cède à aucune des facilités du swing moderne... il n'est absolument pas destiné aux savants, il est limpide » Arnaud Robert, Le Temps « Une musique intense et contrastée, où la richesse harmonique se conjugue à une énergie collective remarquablement contrôlée » Eric Steiner, La Liberté « Ur est donc un chef-d'œuvre de pulsion contenue, d'écriture minée » — « Il est embrasement. Il est pop. Il ne s'excuse pas de son exigence et n'assène pas non plus son bon goût » Arnaud Robert, Le Temps « Cet album [UR] m'a véritablement scotché » — « Même si on est en février, je pense déjà avoir trouvé mon album piano de l'année » Greg Drygala, Hificritic « On a rarement vu autant de mimiques et de plaisir communicatif dans un concert de jazz » » Fabio Baechtold, BeJazz « Grandiose » — « Du haut-vol qui procure non seulement du plaisir, mais présente aussi quantité de surprises » Michael Stürm, Jazz Podium « Quand le pianiste et le bassiste exposent les thèmes à tour de rôle, on devine dans leurs regards les kilomètres d'improvisations parcourus ensemble » Benjamin Ilschner, La Liberté |